Sauvons la recherche (SLR), fer de lance du mouvement des chercheurs depuis 2004, s'était refusé à donner une consigne de vote, même si sa préférence pour la gauche était manifeste. L'association a franchi le pas, estimant, explique son président, le mathématicien Bertrand Monthubert, qu'"il n'est pas possible de faire comme si les deux projets en lice étaient équivalents".
Lundi 30 avril, au cours d'une conférence de presse, SLR devait appeler les chercheurs à "utiliser leur bulletin de vote pour sauver la recherche et l'université". En se prononçant sans ambiguïté en faveur de Ségolène Royal. (...) A lire sur le site du Monde.
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